«Un témoignage sur la tragédie israélo-arabe superbement écrit, non sous l’angle des politiciens, mais de celui des gens ordinaires qui la vivent. L'œuvre d'un écrivain passionnément honnête, qui ne craint pas de poser de terribles questions. »
Nadine Gordimer, New-York Review of Books
Voir ci-dessous amour :
« Dans quelques livres mythiques comme Le bruit et la fureur de Faulkner, Le tambour de Günter Grass, Cent ans de solitude de Gabriel Garcia Marquez, de grandes visions de l'histoire nous sont racontées de manière nouvelle. Il se pourrait que Voir ci-dessous : Amour soit le digne héritier de cette lignée brève mais impressionnante. »
Edmund White, New-York Times Book Review
Le Livre de la grammaire intérieure :
« Un merveilleux roman initiatique, où se débat un lointain cousin du Petit Chose en quête du paradis sous le mur des Lamentations. Du rire, des larmes, une giboulée de sensations, Grossman ne cesse d’enchanter et d’émouvoir. »
André Clavel, L’Événement du Jeudi
Le Sourire de l’agneau :
« Mêlant la compassion et la sagesse du moraliste à une véritable imagination créatrice, ce livre mérite de toucher le public le plus large possible. »
Robert Fisk, Independent
Les Exilés de la terre promise :
« A chacun de ses livres, David Grossman tente de percer le mur du mépris. A l’heure où les peuples juif et palestinien sont censés “faire la paix”, il fait œuvre salutaire. »
Pierre Haski, Libération
L’Enfant zigzag :
« Ce livre est imprégné d’une tendre, d’une pétillante liberté, et de cette malice vagabonde qui déserte trop souvent notre paysage littéraire. En bref David Grossman nous rend heureux. C’est tout ? C’est tout. »
Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur
Une femme fuyant l’annonce :
« Un livre d’une force et d’une intensité extraordinaires, c’est LE chef-d’œuvre de David Grossman. Flaubert a créé son Emma, Tolstoï son Anna, et à présent Grossman a son Ora – un être pleinement vivant, parfaitement incarné. J’ai dévoré ce long roman dans une sorte de transe fiévreuse. Sidérant, magnifique, inoubliable. »
ELLESAlessandra passe le début de son enfance à Rome, dans une famille modeste. Sa mère, pianiste de talent, a renoncé à son ambition de concertiste pour donner des leçons. Eprise d'un autre homme, elle veut quitter un mari vulgaire mais celui-ci l'en empêche. La jeune fille, envoyée par son père dans un village des Abruzzes dans l'espoir qu'elle se glisse dans le moule imposé par la tradition, grandit en refusant farouchement d'adhérer à ce modèle. Au début de la Seconde Guerre mondiale, elle rentre dans la capitale, déterminée à étudier et à exprimer sa personnalité. Elle y rencontre Francesco, un professeur antifasciste. Pensant trouver un homme capable de voir en elle une égale, elle l'épouse. L'espoir d'Alessandra est immense, et sa déception sera à la mesure de ses attentes. Avec en toile de fond la montée du fascisme, la guerre et la lutte résistante, Alba de Céspedes compose une grande fresque intime et puissante. A travers une plongée dans la psyché féminine d'une impressionnante modernité émerge la prise de conscience d'une femme qui, dans un monde dominé par les hommes, parvient à transformer la résignation en rébellion.580/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501002029665
CONTES CREOLES"Mes contes, je les ai imaginés à la Guadeloupe et dans d'autres pays. J'ai voulu y dépeindre la vie des hommes à partir de la vie des animaux, mais attention, mes personnages peuvent y être aussi des arbres, des fleurs et même des hommes ! J'espère que tous ces personnages vous enchanteront."350/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501190881001
DES HEURES A LIRE ET AUTRES COURTS ESSAISL'écriture romanesque n'empêcha pas Virginia Woolf d'écrire de nombreux articles ou brefs essais, comme autant de variations autour de ses grands thèmes. Cette édition réunit cinq de ces textes. Articles théoriques, conférence ou recherches stylistiques, Woolf y aborde, d'une plume superbe, des thèmes variés - du temps de la lecture au sens de la fiction moderne -, flâne dans Londres en hiver ou se prononce sur le travail des femmes. "Les livres de notre enfance, que nous subtilisions à une étagère de la bibliothèque censée être hors de portée, ont quelque chose de chimérique et d'impressionnant, comme, dans la maison endormie, la vision clandestine de l'aube pointant sur les champs paisibles."170/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501161120002